• S’opposer au mécanisme d’instabilité latérale et antéroposterieur du genou.
• Soulager les douleurs compartimentales d’origine arthrosique.
• Compenser les déficits musculaires.
• Gonarthrose.
• Instabilité après prothèse totale de genou.
• Genu valgum/varum instable ou douloureux.
• Polyarthrite rhumatoïde.
• Rhumatisme inflammatoire.
• Genu recurvatum.
• Laxités chroniques.
• Instabilités ligamentaires.
La conception des genouillères varie en fonction de la pathologie.
• Articulations polycentriques reproduisant les mouvements physiologiques.
• Butées d’extension ou de flexion.
• Aide à l’extension par des tracteurs élastiques.
• Verrouillage en position debout (déficit du quadriceps).
• Cadran d’extension progressive.
• Articulations déportées vers l’arrière (déficit léger et moyen du quadriceps).
• Mono montant côté opposé à la déviation (frontal) et articulation controlatérale pièce sur pièce en polyéthylène.
• Prolongement de la partie jambière jusqu’au sol lorsque le genou ne comporte pas d’accrochage osseux et ne peut assurer le maintien de l’orthèse, voir chapitre Neurologie.