• Eviter les malpositions nocturnes en phase de rétraction musculaire.
• Conserver un gain d’amplitude articulaire obtenu par chirurgie, kinésithérapie ou traitement plâtré.
• Ces orthèses sont différenciées en fonction des segments à posturer.
Elle sont réalisées dans des matériaux semi rigides, tels que le polyéthylène (haute ou basse densité) ou le polysar, choisi suivant l’âge et l’hypertonie.
De port nocturne ou diurne mais en aucun cas destinée à la marche.
• Orthèse courte : intéresse le segment jambier et pédieux.
Le pied est maintenu en position neutre ou en fonction des objectifs thérapeutiques.
• Orthèse longue : englobe le segment cruro-jambier et pédieux.
• Ces orthèses peuvent comporter des systèmes de correction progressive :
A la cheville :
- Ridoirs
- Perlstein
Au genou :
- Ridoirs
- Cadran
- Articulations crantées.