• Permettre la verticalisation et la déambulation.
• Assurer une stabilité des trois articulations de la prothèse.
• Améliorer les conditions d’autonomie dans l’environnement socio familial voire professionnel.
• Désarticulation de hanche.
• Amputation très courte de fémur (inférieur à 10 cm).
• Hémipelvectomie partielle ou totale.
• L’emboîture en résine contenant le moignon se prolonge côté sain par une ceinture souple. Elle doit comporter un accrochage important sur les crêtes iliaques et comprimer les masses molles pour autoriser un bon contrôle du bas de jambe.
• Articulation de hanche :
Fixée en avant et en bas de la coque d’emboîture.
Monocentrique, elle autorise le libre mouvement avec le segment fémoral en phase oscillante.
Il existe des articulations en alliage léger ou en titane avec ou sans verrou fixées sur la partie antérieure de la coque afin d’améliorer la position assise.
Une lame en carbone peut remplacer le tube de jonction, entre la hanche et le genou, afin d’alléger et dynamiser la marche des personnes actives.
La prothèse est stable grâce à la disposition articulaire spécifique :
La pièce de hanche est déportée en avant et le genou en léger recurvatum pour assurer le verrouillage en charge.
• Genou : voir “Genoux prothétiques”
• Pied : voir “Pieds prothétiques”
Le gain de poids en extrémité est d’importance considérable et améliore la phase pendulaire ; un pied en carbone est donc conseillé.